• Tir groupé sur des films sur lesquels je n’ai pas envie de m’étendre plus que cela mais dont je vous donne juste mon avis.

    Ted est un film de Seth McFarlane avec Mark Walberg et Mila Kunis

    Synopsis :  À 8 ans, le petit John Bennett fit le voeu que son ours en peluche de Noël s’anime et devienne son meilleur ami pour la vie, et il vit son voeu exaucé. Presque 30 ans plus tard, l’histoire n’a plus vraiment les allures d’un conte de Noël. L’omniprésence de Ted aux côtés de John pèse lourdement sur sa relation amoureuse avec Lori. Bien que patiente, Lori voit en cette amitié exclusive, consistant principalement à boire des bières et fumer de l’herbe devant des programmes télé plus ringards les uns que les autres, un handicap pour John qui le confine à l’enfance, l’empêche de réussir professionnellement et de réellement s’investir dans leur couple. Déchiré entre son amour pour Lori et sa loyauté envers Ted, John lutte pour devenir enfin un homme, un vrai !

     

    Mon avis : l’idée de base est super intéressante, mais au final on a un film vulgaire et qui fait passer les geek pour des demeurer et donc le rite de passage d’un enfant en homme est le mariage. Messieurs geek vous êtes des attardés et les filles n’aiment pas les geeks. Bref décevant, même si le délire avec Flash Gordon m’a bien fait rire.

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    Godzilla est un film de Gareth Edward avec Aaron Taylor-Jones, Ken Watanabe et Juliette Binoche.

    Synopsis :  Godzilla tente de rétablir la paix sur Terre, tandis que les forces de la nature se déchaînent et que l'humanité semble impuissante...

    Mon avis : Ce film est un condensé des peurs américaines : explosions de centrale nucléaire, tsunami, chute de gratte-ciel et panique générale liée à une quasi-impuissance de l’armée. Les humains sont totalement inutiles dans le film (face à la nature …), mais on arrive quand même à avoir le soldat américain héros à la morale irréprochable qui sauve (presque) tout le monde. Des nanas éplorées inutiles et des gros monstres qui détruisent tous. Heureusement que Ken Watanabe est là pour le plaisir des yeux. Je pense que le film à une double lecture et peut se relever bien plus intéressant  qu’il ne le laisse voir.

     

    Cinéma : Ted et Godzilla


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  • Si le livre de poche fait parti de notre quotidien, il n'en a pas toujours été ainsi. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas fait l'unanimité à sa sortie ....

     

     


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  • Mafia parano est un film d'Eric Blakeney avec Liam Neeson et Sandra Bullock.

    Synopsis : Agent de la DEA, Charlie est une véritable légende. Il a infiltré les plus redoutables clans de la pègre sans jamais se faire prendre. Cependant, sa dernière mission s'est terminée en véritable bain de sang et même si Charlie s'en est sorti indemne, il n'en est pas moins resté traumatisé. Il est conscient de frôler la mort à chaque instant et décide de laisser tomber son job, non sans avoir accompli une ultime mission, la pire de toutes. Au bord de la dépression nerveuse, terrorisé par un caïd au comportement imprévisible, Fulvio Nesstra, il entame une psychanalyse de groupe et fait la rencontre d'une jolie infirmière se nommant Judy Tipp. Dès lors, Charlie partage sa vie entre ses nouveaux amis névrosés, son enquête fédérale et Judy à qui il s'attache de plus en plus.

     

    Mon avis :

    Il n’y a pas grand-chose à dire sur ce film. J’ai à peine ri sauf pour une ou deux situations cocasses, mais sinon c’est d’un ennui. Je pense que le film s’est fait car il y avait Liam Neeson et Sandra Bullock (d’ailleurs inutile dans le film) au casting. Mais il n’y a rien de bien nouveau sous le soleil, le scénario est basique et sans saveur.

     

    Cinema - Mafia parano

    Cinema - Mafia parano


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  • Cette semaine, je vous propose une autre musique de film qui m'a bien fait vibrer pendant que je bossais :

    Lawrence d'Arabie !


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  • Titre : Women's Land, construction d'une utopie

    Autrice : Françoise Flamant

    Editions : Ixe Editions

    Synopsis :

    Pour s’affranchir de la domination masculine, les femmes dont la geste est ici retracée ont franchi le pas, pris la tangente et construit ensemble autre chose : tout un monde, toute une vie à elles. Elles ont tenté l’aventure dans l’Ouest des États-Unis, sur des terres reculées où une poignée d’entre elles résident toujours. Elles ont défriché, semé et planté, bâti leurs maisons et leurs abris avec la volonté d’inventer un nouvel art de vivre entre femmes. En quelques années, une vingtaine de terres séparatistes ont ainsi été créées dans la région. Leur multiplication alimentait une vie sociale intense fondée sur la solidarité entre résidentes et visiteuses de passage, sur le respect de la nature, le partage des savoirs, la recherche d’une spiritualité ancrée dans l’immanence, la Terre et le Cosmos.

    Que reste-t-il aujourd’hui de ces espaces uniques et de l’utopie qui les a longtemps maintenus vivants ? Françoise Flamant s’est plongée dans les archives des Women’s Lands, elle s’est entretenue avec plusieurs des protagonistes de cette histoire à bien des égards fabuleuse. Soutenu par le respect et la sympathie pour le sujet traité, son récit qui mêle descriptions, analyses, témoignages et documents graphiques donne la mesure de l’ambition du projet et de la force des engagements de celles qui y ont participé. C’est une contribution essentielle à l’histoire du féminisme et à celle, par trop occultée, des lesbiennes féministes.

    Livre -  Women's land

    Mon avis :

    Une claque. C’est ce que j’ai pris dans la tronche en lisant ce livre absolument génial. Franchement, je ne sais même pas comment je vais pouvoir donner mon avis sur cet ouvrage.

    Déjà un GRAND MERCI aux Éditions Ixe de me l’avoir envoyé, et qu’elles me pardonneront de ne pas développer à sa juste valeur ce livre.

    Whaou.

    Ce fut une magnifique découverte. J’ai découvert quelque chose que je ne connaissais pas du tout. J’avais je n’avais imaginé une construction utopique aux féminins.

    Rarement j’ai autant fait de pauses dans ma lecture pour prendre le temps de réfléchir.  De me remettre en cause et comprendre le courage qu’il a fallu pour ses femmes de s’émanciper comme elles l’ont fait à leur époque.

    Le livre est super bien écrit et construit, richement illustré aussi.

    On suit cette aventure du début : les idées initiales, les essais, les erreurs, etc. jusqu’à l’installation plus ferme de ces Lands.  Les doutes, les difficultés de toutes ses femmes, lesbiennes ou non, pour s’affirmer, développer une culture alternative à celle qui les oppressait.

    Ce fut une lecture très enrichissante ! Vraiment, il faut le lire et pas uniquement les femmes, mais aussi les hommes, et toutes les personnes qui voudraient construire des alternatives.  

    Vraiment un superbe ouvrage !   À LIRE DE TOUTE URGENCE

     


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  • Un article pour vous parler Comics, mais je vais faire un petit interlude avant.

    À l’heure où les Oscars sont englués dans un débat sur la représentation de la diversité à l’écran, je m’interroge sur nos rôles à nous, spectateurs.trices, lecteurs.trices. Parce que c’est bien beau d’être pour la diversité (quelle soit liées à la couleur de peau, la sexualité, le genre… ), mais que faisons-nous vraiment pour la promouvoir ? Avouons que ce n’est pas toujours SI simple car les initiatives sont de petites tailles ou noyées dans la banalité ou stéréotypées. Pour ceux que ça intéresse, un challenge SFFF et diversité a été lancé (mais je ne peux pas y participer …) et mon article va peut être vous aider ! 

    J"aimerai d'ailleurs lancé une initiative au sein des blogeurs.geuses, donc si a vous intéresse, contactez moi !

    J’avoue être plus sensible aux personnages féminins dans les livres ou films que leurs couleurs de peau, sexualité, etc. …  Et je n’ai jamais manqué de faire remarquer l’absence de femmes dans les œuvres. Après j’essaie à mon petit niveau de faire des découvertes et de vous les faire partager.

    Mais une chose me turlupine, quand on parle de promouvoir la diversité, on à l’impression que celle-ci concerne la France ou les USA. Mais pourquoi devons-nous attendre que ça soit les USA qui montrent l’exemple en termes de représentation de diversité  afro-américaine  quand on ne fait aucune promotion de la diversité africaine tout court.

    Et là on en arrive à mon article sur les comics, puisque je vais vous parler de comics africains.

    Je vous propose déjà le lien sur l’article du Monde qui m’y a fait découvrir : http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/01/22/des-super-heros-100-africains_4851694_3212.html

     

    Et vous savez quoi ? Vous pouvez télécharger ces comics GRATUITEMENT.

    http://www.thecomicrepublic.com/readcomics.html

     

     Donc je vous invite à le faire, les lire et donner votre avis dessus ! Ce que je ne manquerai pas de faire dans les prochains jours. Il faut encourager le développement de ce genre d’initiative !  En espérant les avoir en français un de ces jours …

    En attendant voilà tous les liens pour vous renseigner :

    http://www.thecomicrepublic.com/index.html

    http://www.thecomicrepublic.com/republicnation.html

    https://www.facebook.com/RepublicNation/

     

    Un autre comics dont j’avais déjà parlé et que j’avais bien aimé : Super Sikh !

    https://www.facebook.com/supersikhcomic/

    http://supersikh.com/

     

    Bonne lecture


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  • The revenant est un film de Alejandro G. Inarritu avec Léonardo DiCaprio, Tom Hardy et Domhnall Gleeson

     

    Synopsis  : Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption.

     

    Mon avis :

    J’ai bien aimé ce film qui est en route pour les Oscars.

    On va essayer de décortiquer un peu, car il y a pas mal de chose à dire. D’abord je trouve le synopsis donné par Allociné assez mauvais. Car on n’est pas tant dans l’histoire d’un homme qui veut survivre pour zigouiller ceux qui l’on abandonner, mais pour se venger de celui qui a tué son fils et tenté de l’enterré vivant. Donc déjà, les motivations ne sont pas exactement les mêmes, bien qu’on parle de vengeance. Et en cela le scénario n’est pas hyper nouveau : survivre  tout prix pour se venger, rien de bien nouveau sous le soleil. Mais c’est tellement bien réalisé que l’on tient bien le film malgré qu’il soit assez long. C’est d’ailleurs un peu un souci de ce format  (film), car il y a beaucoup d’événements dramatiques qui se suivent donnant une impression de « trop c’est trop » tout en n’arrivant pas à s’inquiéter pour le héros dont on sait qu’il survivra à tout.

    Mais pourquoi ça marche ? Parce que la performance des acteurs est géniale. On parle beaucoup de DiCaprio, absolument fabuleux dans le rôle, mais on oubli aussi vite Domhnall Gleeson ou Will Poulter qui s’en sortent aussi très brillamment.  J’ai aussi beaucoup aimé le personnage de Hawk, fils amérindien du héros DiCaprio, qui se cherche une place dans ce monde de blancs très raciste. C’est d’ailleurs l’un des thèmes du film à mon avis. Il faut dire que la cohabitation entre les Amérindiens et les blancs (anglais et français) ne fut pas vraiment très amicale…  Mais les sauvages, ils sont partout … D’ailleurs le film est peut-être un peu trop violent à mon goût, mais on l’histoire ne se passe pas chez les bisounours hein.

    Les décors sont superbes, j’adore les grands espaces. C’était un peu pareil dans les 8 salopards, mais le froid et la neige joue aussi un rôle dans l’histoire.  Nous rappelant que la nature est un monde bien hostile et peut-être le pire ennemie de l’homme s’il a les chevilles trop enflammées.

    La musique est aussi très bien utilisée, assez discrète la majorité du temps, le thème principal apporte ce souffle dramatique et épique quand il le faut.

    Un très beau travail de la part d’Inarritu. Je ne sais pas si le film mérite ses Oscars (je n’ai pas vu tous les autres films en compétition), mais en tout cas, ça reste un film de grande qualité.

     

    Cinéma : The revenant

    Ps : j'ai aussi maté Crime et Pouvoir de Carl Franklin avec Ashley Judd, Morgan Freeman et Jim Caviezel, mais sans déconner c'était nul, donc pas de chronique.


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