• (Note avant de commencer : aucune photo  n'est de moi, je les ai toutes prises sur internet)

     

    Pour combler mon temps libre avant de bientôt partir en Allemagne (on en reparlera bientôt), je suis allée à une journée de formation au Muséum National d’Histoire Naturelle. Et je conseille à tout le monde d’y aller si un sujet vous intéresse. Certes, ce n’est pas gratuit, mais on est très bien accueillis avec un joli badge. Et il est possible de visiter gratuitement la Grande Galerie pendant la pause de midi, chose dont je ne me suis pas privée !

     

    http://ekladata.com/NFCGE7jPvmJog1dbFm6HrNWeG7g.jpg


    Le thème était les milieux extrêmes : « Cette journée consacrée à l’exploration des grands fonds et certains milieux extrêmes telles les grottes, univers encore méconnus. Comment certaines espèces sont-elles adaptées à des conditions extrêmes (pression, température, obscurité…) ? Céphalopodes, poissons, tardigrades… Autant d’organismes pour illustrer la vie sur les monts sous-marins, les milieux hydrothermaux… »

     

    http://ekladata.com/pucj4Cwkd723BlVDyJ0naZ6JiQw.jpg


    Bien que la biologie marine ne soit pas ma spécialité, j’ai une grande passion pour les grands fonds marins (voir cet article) et toute la faune qui les peuple. Et je dois dire que je n’ai pas été déçu ! J’ai découvert plein d’animaux, de comportement et d’adaptation parfois extraordinaires ! En plus, la journée concorde avec la sortie d’un numéro des Dossiers de La Recherche sur les abysses.

    Comme petite introduction à ce résumé de la journée, je vais faire un petit historique de la découverte de la vie en profondeur (historique que nous avons eu 4 fois dans la journée).

     


    Avant 1860, suite aux études de Forbes dans la Mer Égée, il est admis qu’il n’y a pas de vie marine au-delà de 600 mètres de profondeur. Ceci acté, personne ne va aller voir plus loin. En 1861, on découvre des mollusques sur des câbles télégraphiques remontés de 1800 mètres. À partir de là, de nombreuses expéditions vont sonder les fonds marins : expédition Challenger, expédition Galathea… Puis arrive les différentes bathysphères et autres bathyscaphes pour descendre des êtres humains au fond des océans, dont le record de profondeur reviens au bathyscaphe à Jacques Piccard (fils d’Auguste Piccard) à 10916 mètres en 1960.  James Cameron ne battra pas ce record en ne descendant qu’à 10898 mètres… pas de bol !

     

    http://ekladata.com/IkZzaFmTzXxIS6LJQPzxl-OyLu4.jpg

    Les grandes profondeurs, quelles contraintes pour les animaux : pas de lumière, température basse (1-4 °C), faible teneur en oxygène, très forte pression, pas de nourriture… Pas très accueillant à première vue… mais les espèces présentent ont su trouver des moyens de s’adapter : diversité alimentaire, symbiose, métabolisme ralenti, bioluminescence, adaptations physiologiques, morphologiques, comportementales…


    Bref comme dirait un certain personnage de film « il y a de la vie sur cette planète ».

     

    http://ekladata.com/bkIUicfr5RlYRI7rwKo7x3ZT52Y.jpg


    Je vais ici faire un petit résumé de chaque présentation effectuée, sans aller dans les détails et en mettant des photos trouver sur le net pour illustrer puisqu’il n’a pas toujours été possible de récupérer les diapos et que je n’ai pas l’intention de refaire les exposés ici…


    Voici la liste des différentes conférences :


    — Les céphalopodes, extrêmes de la tête au pied : après un bref rappel sur ce qu’est un céphalopode (8 bras, 2 tentacules, mollusque), on apprends qu’ils vivent dans toutes les couches de l’océan. Ils se sont adaptés aux manques de lumière avec de grands yeux qui ne voient pas la couleur. Certains sont fluorescents (comme beaucoup d’espèces des profondeurs) et c’est une phosphorescence active, c'est-à-dire qu’elle peut être contrôlée. L’adaptation aux manques d’oxygène ce fait pas variation dans la ZMO ou pas respiration anoxique. Le métabolisme de ses animaux est très lent, et c’est aussi pourquoi ils passent beaucoup de temps à flotter. Le cycle de reproduction de certaines espèces est aussi fascinante : soin aux jeunes pendant 400 jours pour une espèce !

    Le plus populaire c’est bien sur vampyroteuthis

     

    http://ekladata.com/p07POSY9iWsRABl7g3iRTp_2uQM.jpg


    — L’origine évolutive des organismes des sources hydrothermales : commençons par dire qu’il y a beaucoup de symbiose dans ces milieux. Après savoir d’où viennent les bactéries c’est une autre histoire ! On ne sait pas encore si c’est des organismes qui se sont « laissé couler » ou s’ils ont une origine profonde… Les organismes sont assez nombreux et originaux.

     


    — Un extra-terrestre : le tardigrade. Que dire de cette bestiole ! Elle aurait tout d’un extraterrestre ! est surtout c’est HYPER-RESISTANT à TOUS ! Température extrême, pression, rayon UV, ionisant, cosmique, produit chimique… au point que certains chercheurs pensent sérieusement que cette bestiole viendrait de l’espace.

     

    http://ekladata.com/aAIdqz9nBYCBrf7aeEXYk5KZoJA.jpg


    — Diversité et adaptation des poissons de grande profondeur : en fait, il y en a de la vie là-dessous ! On a tous en tête cette image :

    http://ekladata.com/IAjFo0dSoNFtBz17uWR5oP7UudE.jpg

    Et bien c’est en effet ce à quoi ressemblent les poissons dans les profondeurs : luminescent et avec de grandes dents. La chose la plus intéressante découverte pour moi dans cette conférence, c’est l’existante de parasitisme sexuel chez une espèce. En effet, le mâle parasite sexuellement la femelle en fusionnant avec elle. Oui oui, il devient une espèce de « pédoncule » sur la femelle… c’est franchement un sujet de recherche qui m’intéresserait ! C’est passionnant ce que la nature sélectionne !

     

    http://ekladata.com/p45rbvx8VWLEdBTvZZz7fENqXu8.jpg


    — La vie sous pression dans l’océan profond : comme vous vous en doutez, la pression ici bas est énorme. Pour donner un exemple parlant, à 1000 mètres, c’est comme avoir un rhinocéros sur l’ongle du petit oreille des pieds. Il y a donc toute une batterie d’adaptation pour y résister : moléculaire, cellulaire…

    Voici un petit film sur les abyssbox que l’on peut trouver à l’Océanopolis de Brest et où l’on peut observer à présent, des crabes et crevettes des profondeurs !

     

    Et voila un petit film pour finir cet article : par ici


     



    1 commentaire
  • Auteur :  Aline Demars

     

    Résumé:
    A 10 ans, elle veut être une sainte et rétablir Henri V sur son trône. A 16 ans, elle danse la polka toute la nuit. A 20 ans, elle vit dans une ferme suisse pour étudier le cycle entier des connaissances. A 30 ans, elle est une savante reconnue dans l'Europe entière et ne cesse d'étonner, de scandaliser les plus éminents savants ses collègues. A 40 ans, elle est la première femme admise à la Société d'Anthropologie. Elle vit pendant 30 ans en union libre avec un homme politique en vue. A la fin de sa vie, elle connait les plus grands honneurs, avant de recevoir la Légion d'Honneur. En 1930, à la Sorbonne, l'Université tresse des couronnes, à "la plus savantes des savants", celle qui figure sur la grande fresque du premier étage : la dame au chapeau rose.
    Et aujourd'hui, qui se souvient de Clémence Royer ?

     

    http://ekladata.com/pJNbSSWxeVeQ2-eKmQDj0yX6oN8.jpg

     

    Chronique :

    Bon, j’avoue je n’ai pas fini le livre. Non pas qu’il ne soit pas intéressant, bien au contraire. Mais il est super répétitif à mon gout. En fait le livre est divisé en 3 parties : une biographie, les œuvres et « la femme ». Et en fait, si on lit la biographie, les 2 autres parties ne sont que des approfondissements. Une fois qu’on a lu la bio, on a bien compris l’importance de cette femme et de son œuvre, pas la peine de revenir sur chaque point dans les parties suivantes.

     

    Clémence Royer est vraiment un personnage à découvrir ! Femme, scientifique, philosophe, féministe… il serait dur de lui mettre une étiquette sur le dos. Mais autant dire qu’elle a marqué son époque par son courage et son intelligence ! Elle traduit Darwin, demande des droits pour les femmes : mariage, divorce, enfant , travail… elle revendique que les femmes soient les égales des hommes, sans les imiter. S’attaque aussi violemment à l’Église qui n’est qu’une puissance faite de mensonge.

     

    Quand on lit sa vie, on ne peut qu’être surpris par le modernisme de cette femme à une époque où la seule voie pour son sexe était le mariage et de devenir une bonne épouse.

    Une grande femme de France ! À découvrir, mais peut-être pas directement par ce livre un peu chiant à la longue.


    votre commentaire
  • Hé oui, encore un swap ! il faut bien utiliser son temps libre pour profiter de certains plaisir ! Et la cuisine en fait parti !

    Rappel du principe du swap : envoyer un colis à quelqu'un avec les produits demandés. C'est convivial et on a toujours de bonne surprise !

     

    Donc celui là était sur le thème de la cuisine, et il fallait y mettre :

    -1 roman format poche sur le thème de la cuisine

    -1 livre de recette

    -1 une recette que l'on souhaite transmettre OU un défi

    -1objet déco culinaire

    -1 surprise autour de la cuisine

     

    Alors, comme toujours j'ai été gâté! (et le chat y veille !)

     

    dsc_0179naisedme.jpg

     

    Tout d'abord, j'ai eu un petit mot de ma swappée avec de marques pages ! je suis ravie car j'égare mes marques pages comme des petits cailloux ....dsc_0187naisedme.jpg

     

    Comme livre, j'ai eu "Natures mortes au vatican" de Michèle Barrière

    synopsis : Rome, automne 1570. On court les fêtes somptueuses des princes et des cardinaux. François, le héros de Meurtres à la pomme d’or, est à présent le secrétaire de Bartolomeo Scappi, le cuisinier personnel du pape. Il l’aide à rédiger son Opera, un recueil de quelque mille recettes, toutes plus délicieuses et originales les unes que les autres : tourte aux asperges, crème à la hongroise, gâteau d’aubergines, parpadelles au bouillon de lièvre, pigeon à la sauge... Mais des événements inquiétants se produisent : le peintre Arcimboldo est enlevé, François est victime d’un odieux chantage, une fête vire à l’orgie et au massacre. De Rome à Naples, puis Genève, le lecteur friand d’aventures et de gastronomie suit avec bonheur la quête de François, dans cette Renaissance où mort et volupté se côtoient constamment.

    Et un livre de cuisine asiatique. dsc_0184naisedme.jpg

     

    Comme recette à transmettre j'ai eu droit à des moules à muffins et la recette de pâte à chou ! j'espère enfin réussir à faire des choux à la crème avec ces deux objets (noté au passage la présence de friandise dans les moules !). La surprise a aussi été mon défi ! Des biscuits roses et un livre de recette qui l'accompagne. Mon défi : faire une recette de ce petit livre !

    dsc_0186naisedme.jpg

     

    Et enfin, mon préféré ! l'objet de déco culinaire ! Oui ! un infuseur à thé canard !!! celui là, il va m'accompagner partout c'est moi qui vous le dis !dsc_0185naisedme.jpg

     

    Merci encore à Sabine et son super colis !

     

    A


    votre commentaire
  • Auteur :  Nicolas Witkowski

     

    Résumé:  Nul n'ignore que la science a longtemps été le domaine exclusif d'Homo mathematicus, que les femmes savantes sont ridicules et que les ingénieures
    ne sont pas légion. Mais si les sciences dures marchent à la testostérone, c'est aussi que leur histoire a été écrite par des hommes, attentifs à prouver par X + Y que les femmes sont génétiquement incapables de rigueur logique et
    d'abstraction. Pour en finir avec cette histoire truquée où les femmes sont soit des curiosités de la nature, soit des muses, soit des potiches, l'auteur a préféré le mode de l'anecdote à celui de la grande synthèse théorique. De la femme de Cro-Magnon à Dian Fossey en passant par Émilie du Châtelet et Ada Lovelace, les héroïnes célèbres côtoient des inconnues non moins illustres, toutes témoignant de l'omniprésence des femmes au cœur de la science. Ni pamphlet féministe, ni évaluation paternaliste de l'apport scientifique des femmes, cette galerie de portraits montre que la science a simultanément
    joué un rôle dans leur émancipation et dans leur marginalisation. Une façon pertinente et drôle de remettre à leur place les mythes sexistes qui voilent
    durablement, au préjudice de tous, la moitié féminine de la science.

     

    http://ekladata.com/CWl8Pl55orRpUR_GIkp9-hwc13A.jpg

     

     

     

    Chronique : 


    Trop belles pour le Nobel… c’est souvent bien le problème des femmes dans les sciences : on les relègue au rôle de faire-valoir. Pourtant, elles ont été des moteurs forts des avancées scientifiques. Mais comme l’histoire des sciences a été écrite par des hommes pour des hommes, mieux ne valait pas trop mettre « le sexe faible » en avant et encore moins reconnaitre des capacités égales aux hommes.

    Le livre raconte sous forme d’anecdotes, parfois drôles, le rôle des femmes : allait du simple cobaye de ces messieurs à des vrais piliers de l’avancée scientifique ! les chapitres sont court et une petite bibliographie nous attends à la fin de chacun d’entre eux pour approfondir. Très sympathique pour une première approche de la science au féminin.


    votre commentaire
  • Auteur : Jean-Loup d'Hondt

     

    Résumé :  La science de l'Animal, aux racines si anciennes, s'est vigoureusement développée à partir de la Renaissance, apportant une notable contribution à l'aventure intellectuelle : la vaste entreprise de découverte, de description et de nomination a débouché sur la question de la classification, toujours d'actualité; et les progrès de la zoologie ont été étroitement liés à ceux de la théorie de l’Évolution.
    Cette histoire offre à connaitre les savants illustres et les expéditions lointaines, les apports des meilleures techniques (microscopie, informatique), ainsi que les interférences avec d'autres disciplines (cytologie, génétique ou écologie). Elle débouche sur les défis lancés par les tendances actuelles de la recherche scientifique.

     

    http://ekladata.com/mqjrcvWazhuD_ovz4Ux958mncEQ.jpg

     

    Critique personnelle :

     

    Comme l’histoire des sciences m’intéresse de plus en plus, il était plus que normal que je commence par une courte histoire de ma discipline, la zoologie.

    Dans ce court livre (120 pages) la zoologie est présentée depuis ces débuts, c'est-à-dire comme de simple observation des animaux dans l’Antiquité jusqu’à nos jours, où celle-ci est de plus en plus délaissée, car peu rentable.

    Les chapitres sont courts et résument les grandes dates et noms de cette large matière. Je trouve quand même qu’ils sont un peu trop courts et que parfois cela va trop vite. Mais au final, ce livre peut servir comme première approche globale de l’histoire de la zoologie.

    Le chapitre le plus intéressant celui moi et le dernier, où l’auteur Jean-Loup d’Hondt parle plus des problèmes de la recherche dans cette matière (et de la recherche en général) : sous financement, course à la publication, dévalorisation du métier d’enseignant chercheur. Il pointe du doigt un constat que j’ai également personnellement fait : le manque de culture (général et scientifique) des étudiants en sciences zoologiques.

    Ce livre est donc parfait pour une première approche, mais attention, il faut quand même un petit fond de culture scientifique pour comprendre (ou alors un bon dico pour avoir la définition de certains termes anatomiques). À mettre entre toutes les mains des étudiants en zoologie.


    votre commentaire
  • Et voila ! j'ai encore participé à un swap ! Bon il faut dire que celui ci a été organisé par ma soeur et moi ! Et le thème ne pouvait que me faire participer ! Car mon amour pour les régions froides, notamment le pôle sud, est toujours vivace malgré deux échec aux portes des volontariats d'aide technique ! Un jour j'irai au Pôle Sud !

     

    Il fallait donc mettre dans ce swap : 2 livres, un roman dans un milieu froid et un récit d'expédition en montage ou régions polaire, 1 DVD, 1 boisson chaude (pour se réchauffer au milieu de ces froides aventures !) et un biscuit (parce qu'un explorateur, ça se nourrit beaucoup de biscuit sec !)

     

    J'ai donc reçu un colis de la part d'une amie : Camille, alias Ners !

    dsc_0650naisedme-copie-1.jpg

     

    Dedans il y avait non 2 mais 3 livres ! Je suis gâtée !

     

    dsc_0651naisedme.jpg

     

    "Seule dans le vent des glaces" de Laurence de la Ferrière.

    Le 23 novembre 1999, Laurence de la Ferrière quitte le pôle Sud. Elle a pour seul équipement de progression une paire de skis et des voiles, pour seuls liens la rattachant à la civilisation un téléphone satellite et une balise Argos. Harnaché à ses reins, un traîneau de 140 kilos contenant de quoi assurer sa subsistance en autonomie totale. Devant elle, l'étendue blanche à perte de vue d'une terre où aucune vie animale ni végétale n'est possible, et près de 3 000 km à parcourir sous des températures pouvant descendre à - 50 °C... Pendant 73 jours, elle a connu le froid, le vent, les vagues de glace imprévisibles, la peur, la soif, l'épuisement, l'extrême solitude... mais aussi la magie d'un paysage qu'aucun regard humain n'a embrassé avant elle, la volonté de survivre, le désir de repousser ses limites et de progresser coûte que coûte.

     

    "Odd et les géants de Glace" de Neil Gaiman (mon premier de cet auteur !)

    Dans un village nordique des temps anciens vit Odd, un garçon que la chance a oublié.
    Son père a péri dans une expédition Viking, et sa mère est inconsolable.
    Un arbre tombe et c'est sur son pied qu'il s'écrase, le rendant boiteux pour toujours.
    Mais un jour, Odd délivre un ours pris au piège. Une quête fantastique commence pour lui, le fragile petit humain. un voyage vers un pays de glaces, de géants et de dieux. Et ce monde attend quelqu'un de souriant, d'exaspérant, d'intelligent, de surprenant. Quelqu'un comme Odd...

     

    "Voyage en Laponie" de Jean-François Regnard.

    Il ne fallait pas moins d'une vive déception d'amour pour conduire un sujet du Roi-Soleil, auteur de comédies aimables et vives, au-delà du Cercle polaire, en une région où même les Suédois de l'époque n'avaient jamais mis les pieds. En 1681, Jean-François Regnard (1655-1709) entreprit donc un voyage en Laponie qui fit voir ce qu'en nos pays du Sud on ignorait sur ces étranges peuplades septentrionales de l'Europe. "Comment peut-on être lapon ?" Il y a dans cette question moins de suffisance que de curiosité vraie, la base de toute entreprise ethnologique.

     

    De la bonne lecture qui m'attend en somme !

     

    Ensuite, il fallait y mettre un DVD, et je suis heureuse qu'elle m'ait mis La ruée vers l'or de Charlie Chaplin !

    dsc_0654naisedme.jpg

    Et je ne peux pas résister à l'envie de vous mettre l'une des plus mythique scène de Chaplin : la danse des petits pains !

     

     

    Après toutes ces aventures fraîches, quoi de mieux qu'une bonne boisson chaude pour faire du bien aux boyaux ? 

    Et bien je suis encore gâtée car j'ai eu 2 paquets de thé ! Un thé au chocolat ! et un thé des montages (myrtille,citron et amande) le tout accompagné de petits biscuits en damier !dsc_0652naisedme.jpg


    Et comme Camille est une fille super, elle m'a glissé deux petits suppléments dans mon colis ! bien en accord avec le thème puisqu'elle m'a fait parvenir de quoi faire des glaçons en forme de .... dark vador ! (elle me sais TRES grande fan de la sage de Lucas ;) ) ainsi qu'un petit dessin car Camille est aussi une superbe illustratrice !

     

    dsc_0653naisedme.jpg

    dsc_0655naisedme.jpg

     

    Je suis donc plus que comblée ! Merci beaucoup à elle !



    votre commentaire
  • C'est assez rare pour être souligné mais ce soir Arte diffuse 2 reportages sur deux grandes scientifiques :

     

    -Lise Meitner, physicienne autrichienne qui énnonca la théorie de la fission nucléaire. Et contrairement au titre du documentaire (Lise Meitner, la mère de la bombe atomique, elle refusa de participer à la construction de la bombe lorsque Einstein lui demandera)

    http://ekladata.com/Lg5KEk1q8J874N5wM_fQREiGDbg.jpg

     

     - Marie Curie : physicienne française qui découvrir le radium et le polonium, et obtiendra 2 prix Nobel

    http://ekladata.com/BugAoq9-0R0h2Jy5oAVGIu0rqWY.jpg

     

    Je vous invite à regarder ces deux documentaires, par passion scientifique, féminisme ou simple culture générale !


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique