• Oscar oblige, voilà l'une des plus belle piste pour lequel le grand Ennio Morricone a eu son Oscar.

    Une super musique pour une superbe introduction du film ! Un magnifique plan séquence !


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  • 1984 est un film de Rudolph Cartier avec Peter Cushing, Andre Morrel, Yvonne Mitchell et Donald Pleasence.

    Synopsis  :

    De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.

     

    Le film sur youtube :

     

    Mon avis :

     

    Bon, déjà c’est un bon vieux film en noir et blanc avec une image de mauvaise qualité (surement dû à l’âge) mais moi j’aime ce genre.

    Le film, outre son âge, est vraiment super. Mais quel passé (futur) horrible sous Big Brother ! On n’a aucun mal à comprendre les personnages qui sont superbement interprétés.  Personnellement je l’ai surtout regardé pour Peter Cushing, dont on retrouve la gestuelle très martiale qu’il donnera à Tarkin bien plus tard. Une très bonne interprétation qui me change, car je connais surtout dans des rôles « dure » et pas forcement empli d’émotions.

    À regarder si on supporte les vieux films sans musique !

     

    Cinema - 1984

    Cinema - 1984


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  • Arthur et les Minimoys, suivit de Arthur et la vengeance de Maltazard puis de Arthur et la guerre des deux mondes, est une trilogie de Luc Besson avec Freddie Highmore.

    Synopsis :

    film 1 : Comme tous les enfants de son âge, Arthur est fasciné par les histoires que lui raconte sa grand-mère pour l'endormir : ses rêves sont peuplés de tribus africaines et d'inventions incroyables, tirées d'un vieux grimoire, souvenir de son grand-père mystérieusement disparu depuis quatre ans.Et si toutes ces histoires étaient vraies ? Et si un trésor était véritablement caché dans le jardin de la maison ? Et si les minimoys, ces adorables petites créatures dessinées par son grand-père, existaient en chair et en os ? Voilà qui aiderait à sauver la maison familiale, menacée par un promoteur sans scrupule !Du haut de ses dix ans, Arthur est bien décidé à suivre les indices laissés par son grand-père pour passer dans l'autre monde, celui des Minimoys, et découvrir les sept terres qui constituent leur royaume...

    film 2 : Arthur est au comble de l'excitation : c'est aujourd'hui la fin du dixième cycle de la Lune, et il va enfin pouvoir regagner le monde des Minimoys pour y retrouver Sélénia. Dans le village, tout est prêt pour l'accueillir : un grand banquet a été organisé en son honneur, et la petite princesse a passé sa robe en pétales de rose... C'est sans compter le père d'Arthur, qui choisit précisément ce jour tant attendu pour quitter plus tôt que prévu la maison de sa grand-mère. Au moment du départ, une araignée dépose dans les mains du jeune garçon un grain de riz sur lequel est gravé un message de détresse. Pas de doute, Sélénia est en danger, et Arthur n'a plus qu'une idée en tête : voler à son secours ! Quitte à employer un passage de fortune, tomber tête la première dans le bar de Max, se heurter aux troupes de Kröb, le nouveau tyran des Sept Terres, secourir Bétamèche, combattre des rats, des grenouilles, des araignées velues... et découvrir, une fois arrivé au village des Mimimoys, qu'aucun message de secours ne lui a été envoyé ! Mais qui donc a bien pu piéger ainsi notre jeune héros ?

    film 3: Maltazard a réussi à se hisser parmi les hommes. Son but est clair : former une armée de séides géants pour imposer son règne à l’univers. Seul Arthur semble en mesure de le contrer… à condition qu’il parvienne à regagner sa chambre et à reprendre sa taille habituelle ! Bloqué à l’état de Minimoy, il peut évidemment compter sur l’aide de Sélénia et Bétamèche, mais aussi – surprise ! - sur le soutien de Darkos, le propre fils de Maltazard, qui semble vouloir changer de camp. A pied, à vélo, en voiture et en Harley Davidson, la petite troupe est prête à tout pour mener le combat final contre Maltazard. Allumez le feu !

     

     

    Mon avis :

    Bon, déjà on va faire simple : épargnez-vous les deux derniers films et surtout le 2e. En effet, ce 2e épisode est d’un ennui mortel, il est machiste au possible et n’est qu’une longuuuuuuuuuuuuue introduction du 3e, que vous pourrez regarder sans avoir vu le 2. Mais on prend plaisir à regarder le premier film qui est plutôt sympa, amenant un monde original qui ravira les petits et les grands.

    Globalement j’ai apprécié le 1er film, qui est vraiment pas mal pour les petits garçons. Oui je dis petits garçons, car pour les filles ça va être plus dure. Quand le film est sorti, j’ai entendu dire partout que la princesse était trop bien et très « moderne ». Donc cela veut dire être une pimbêche qui tortille du cul et qui finit dans les bras du héros de toute façon et quia ne sert finalement à rien(et je vous épargne son inutilité dans le 2e film où elle attend tendrement le retour du héros et qui accablé de chagrin se laissera attraper comme une mouche sur une merde par le méchant). Méchant qui par ailleurs est vraiment le personnage le plus sympa (et en plus doubler par le regretté David Bowie). La galerie de personnages est vraiment marrante (malgré un complexe de schrouphette de Sélénia). Et je doigt dire que j’ai vu venir le clin d’œil (enfin là c’est même plus un clin d’œil), gros comme une maison dès que Arthur et Darkos entrent dans le magasin d’antiquité et s’arrêtent devant les armures japonaises.

    J’ai passé un bon moment avec le 1er film, me suis faite flick pendant le 2e qui n’en vaut pas la peine et trouver le 3e qui a le niveau d’un film du l’après-midi sur M6

     

     

    Cinema - la trilogie d'Arthur et les Minimoys

     

     


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  • Deux podcasts pour bien commencer ce weekend

     

    Darwin et l'imaginaire c'est par là !


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  • Titre : L’œillet vert

    Auteur : Robert S Hichens

    Éditeurs : Les moutons électriques.

    Synopsis : Oscar Wilde dans toute sa splendeur  : lorsqu’en 1894 ce roman fut publié anonymement, tout le monde se demanda qui en était l’auteur, mais personne n’eut le moindre doute quant à l’identité des protagonistes, Oscar Wilde et lord Alfred Douglas.
    Roman à clef, comédie mordante sur le «  Mouvement Esthétique  » et portrait au vitriol de la société des Yellow Nineties, les années 1890 anglaises et leurs scandales, cet œillet vert (du nom de la fleur qui servait de symbole aux gays de l’époque) constitue un inédit et précieux témoignage sur Wilde et son entourage, par l’un de ses proches, traduit pour la première fois en langue française.

    Journaliste et romancier, surtout renommé pour ses nouvelles de fantastique, Robert S. Hichens (1864-1950) faisait partie des connaissances d’Oscar Wilde qui notaient ses réparties. Mais contrairement à beaucoup d’autres, Hichens conserva pour lui ces aphorismes et déclarations fracassantes, afin d’en alimenter ce roman, qui rencontra un beau succès de scandale à son époque.

     

    Roman - L'oeillet vert

     

    Mon avis :

    Merci à Babelio et aux Moutons Electriques pour ce livre au format original (presque carré).

    Comme je connais assez bien Oscar Wilde et son époque, j’étais curieuse de livre cet ouvrage. J’aime beaucoup le style et le côté absurde de certaines réflexions. Je suis sur que si on regardait de plus près on trouverait le tout et son contraire. L’histoire est assez simple puisqu’on retrouve un groupe de personnage mondain londonien partant une semaine à la campagne et dont l’un des buts est de coller deux protagonistes ensemble.

     Il est très facile d’identifier Oscar Wilde et Alfred Douglas dans le livre, si on connait les connais un peu et j’y au pris un vrai plaisir à lire leurs digressions.

    Le livre peut se lire même sans connaissance sur ceux deux personnes, mais il est certain que le lecteur passera à côté du parfum de scandale qui entoure le livre s’il ne connait pas l’époque et son hypocrisie.  

    Bref un roman sympathique, mais dont le fond peu échapper aux lecteurs novices de cette période.


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  • Tout en haut du monde est un dessin animé de Rémi Chayé

    Synopsis : 1882, Saint-Pétersbourg. Sacha, jeune fille de l’aristocratie russe, a toujours été fascinée par la vie d’aventure de son grand-père, Oloukine. Explorateur renommé, concepteur d'un magnifique navire, le Davaï, il n’est jamais revenu de sa dernière expédition à la conquête du Pôle Nord. Sacha décide de partir vers le Grand Nord, sur la piste de son grand-père pour retrouver le fameux navire.

    Mon avis : un gros coup de coeur !

    Un superbe dessin animé ! Encore une fois, la création française montre son talent.

    Le style est assez inhabituel, mais cela donne aussi son charme à ce dessin animé.

    On suit avec plaisir le périple de Sacha, petite aristocrate russe, dans le Grand Nord pour retrouver son grand-père. Son courage et sa détermination la feront relever tous les défis.

    J’ai beaucoup apprécié que le DA ne tombe pas dans la facilité en gardant une certaine dureté. En effet, les marins de l’accueil pas à bras ouvert. Il y a bien sûr quelques facilités, mais on reste dans un film pour enfant. Les personnages sont attachants et l’aventure palpitante. Moi qui connais un peu l’expédition Shackleton dont c’est inspiré le réalisateur, j’ai retrouvé beaucoup de choses qui me font aimer les expéditions polaires : le froid, la faim, le danger, la folie… Le sujet est bien traité pour le public visé.

    Un vraiment beau film à voir ! Je ne sais pas s’il pas encore en salle, mais ne le louper pas ! Ou alors il faudra vous jeter sur le DVD !


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  • Cette semaine je vous propose 2 podcast de france culture sur Darwin.

    Je vous conseil aussi d'aller voir l'expo qui lui est consacrée à la Cité des Sciences. Elle est bien faite et très instructive.

     

     

    Bonne écoute !


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